La Journée nationale de l’accueil des gens du voyage est un rendez-vous important pour les élus locaux qui suivent ce dossier compliqué et explosif. Les exigences qui nous incombent nous questionnent en permanence
Les solutions d’hier ne sont pas forcément celles de demain. Forts de nos retours d’expériences, il nous faut sans cesse adapter nos stratégies sans renoncer à la nécessaire cohérence nationale.
L’actualité de ce congrès était aussi la proposition de loi relative au statut, à l’accueil et à l’habitat des gens du voyage débattue en juin dernier à l’Assemblée Nationale et actuellement dans la navette parlementaire. Ses conséquences, notamment sur les modalités d’accueil sur nos aires, sont encore méconnues : cela constitue l’un des enjeux des échanges que l’on peut avoir actuellement.
Le territoire du Chablais observe, chiffre à l’appui, que depuis qu’il est en règle avec la loi et le schéma d’accueil, souffre de mois en moins des stationnements illicites.
Aussi un nouveau challenge s’impose à nous : l’intégration des familles qui se sédentarisent et ont décidé de ne plus voyager ( ou moins).
Les élus du Chablais, réunis au sein du Symagev, que je préside ont des idées bien précises sur la loi en cours de discussion.
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