Avec une chute de 11 % en deux ans, on peut véritablement parler d’une crise de l’apprentissage. Et la mauvaise conjoncture économique n’explique pas tout, puisque notre pays avait été capable d’absorber rapidement l’impact de la récession de 2008-2009. Dans ces conditions, les rustines ne suffisent plus : on pourra multiplier a l’infini les baisses de charges, les primes de 1000 euros ou autres, mais il est surtout urgent de reconnaître que cette crise est systémique et qu’elle renvoie a l’organisation de la formation initiale des jeunes dans son ensemble.
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