« Le président sortant de la Région Rhône-Alpes a-t-il été l’homme des arbitrages ? L’examen de son bilan révèle des qualités d’écoute et d’analyse saluées par les milieux économiques. Ceux-ci lui savent gré de son soutien pertinent aux clusters et pôles de compétitivité, du système novateur de soutien aux entreprises mis en place. Alors que Rhône-Alpes a été durement frappée par la crise, son mandat a fait la part belle à la « petite » économie, celle des TPE, des artisans. Mais l’élu socialiste est également critiqué pour son manque d’assertivité dans plusieurs dossiers, dont celui des TER (Trains express régionaux), au sein d’une Région politiquement aussi bigarrée que difficile à gouverner, aux effectifs et à une dette en forte croissance. »
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