Au nom du groupe UMP je suis en séance intervenue pour le Lyon/Turin.
C'est le 23 juillet prochain, au plus tard, que Rome devra présenter à Bruxelles un tracé définitif et circonstancié pour le Lyon/Turin sur son territoire. Cette date butoir a été fixée par le Parlement Européen. Si le gouvernement italien échoue dans cettedernière ligne droite, le projet devra se passer d'un financement européen de un milliard d'euros sur un coût total estimé à 7,6 milliards.
Le Lyon/Turin est un grand projet qui prévoit, entre autre, le percement d'un tunnel de plus de 53 kilomètres et qui mettra les deux villes à environ une heure et de mie de voyage l'une de l'autre en TGV.
L'affaire, c'est le moins que l'on puisse dire, avance cahin-caha depuis que la France et l'Italie ont signé en 2001 le traîté qui a mis ce projet sur les rails. le dernier rebondissement aura été la grogne monumentale en Italie dans le Val de Suse. En 2006, j'avais rencontré tous les maires du Val de Suse avec les membres de la commissions transport du Conseil Régional. Nous avons recontré également Mr Verano emissaire du gouvernement italien pour mettre en place une médiation sur le terrain.
Ce jour, le Conseil Régional adopte un voeu qui demande à l'Etat français de s'investire dans ce projet et de confirmer sa politique de report multimodal.
Au nom du groupe UMP j'ai également demandé que soit mise en place une concertation avec les professionnels du transport sur ce projet.
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