Les collectivités du Grand Genève Français continuent de délibérer pour émettre un avis sur le projet politique. La communauté de communes de Arve et Salève a emis un avis favorable.
J’en profite pour continuer la présentation de ce dossier.
--
A l’echelle des Villes et Bourgs : Enjeu 2 : une ville qui pétille.
L’effervescence d’une ville c’est trouver tout ce dont on a besoin au pied de chez soi et dans le même temps avoir accès rapidement aux services plus occasionnels qui ne peuvent se trouver dans toutes les villes. Une ville qui pétille s’entend donc à deux échelles : l’échelle locale et l’échelle d’agglomération. Cette effervescence, nous sommes prêts à la mettre en oeuvre ensemble.
• A l’échelle locale d’abord, une ville qui pétille c’est une ville dans laquelle les habitants peuvent vivre, travailler, se divertir, consommer, se cultiver… et accéder facilement à ces différentes fonctions urbaines. Pour offrir ce plaisir de vivre en ville, nous nous engageons à favoriser une richesse d’activités (tissu social, vie de quartier...) accessibles à pied, en vélo, en transports en commun rapidement. Nous refusons donc les développements diffus qui ne le permettent pas. Les espaces naturels, richesse de notre territoire doivent être accessibles aussi facilement et rapidement aux citadins.
• Toutefois une ville effervescente ne peut pas proposer tous ces services si elle est proche d’une autre ville. Aussi nous nous engageons à coordonner les choix d’implantations des équipements, des services, et commerces pour lesquels nous devons défini l’intérêt métropolitain. Nous éviterons ainsi les doublons et les concurrences stériles, ni pertinentes, ni économiquement viables.
Le développement des villes doit être équilibré sur la base d’une armature urbaine qui concourt au renforcement des centralités. Cette armature est à harmoniser d’un commun accord.
En contre partie nous nous engageons à garantir l’accessibilité à ces services, équipements, commerces et emplois d’intérêt métropolitain en transport en commun ou en mobilités douces. Cela suggère une efficacité de l’organisation intermodale du territoire qui optimise les correspondances entre les modes et coordonne davantage les offres TC. Sur ces éléments nous nous entendons.
Je ne vois pas vraiment l'intérêt de créer une ville pétillante. Au contraire, il faudrait faire fuir les gens de la ville pour pallier au déséquilibre démographique.
reponse: l'Interscot ne concerne que la partie francaise. donc des villes qui petillent sont des villes qui sont en vie, et qui ne sont pas des citées dortoirs. vous ne voulez pas que la france soit le dortoir de Genève j'espère.
Rédigé par : Vanessa | 29 novembre 2013 à 12:17